J'ai testé... le livre photo de l'application Tipii

J'ai toujours aimé imprimer mes photos, je m'étais d'ailleurs lancé dans un project life mais, faute de temps, il n'a jamais avancé et est resté bloqué en février 2017. Puis, j'ai découvert Tipii.

Cette application disponible sur Androïd et IOS vous propose un mini album (14 cm x 14 cm) de 12 pages pouvant contenir jusqu'à 48 photos à créer en 10 minutes maximum. Un petit prix et une rapidité de création qui m'a fait sauter le pas.

L'application est très simple à utiliser, on choisit son gabarit suivant le nombre de photos voulues, on importe ses photos puis on passe à la page suivante. Une fois notre prototype terminé, il est possible de vérifier sa mise en page grâce à l’aperçu puis de faire imprimer l'album en l'envoyant à l’adresse de notre choix.

J'ai reçu l'album cette semaine et j'en suis plutôt satisfaite. Cependant, je trouve que l'impression manque clairement de résolution mais le papier parait de bonne qualité (à voir avec le temps).

Avantages

• une application très simple à utiliser,

• la possibilité de reprendre et de finir son album plus tard,

• un petit prix (10 € frais de port inclus) avec une grande facilité de trouver un code promo,

• un mini format trop mignon et des pages toutes douces au toucher.

Inconvénients

• une qualité photo qui pourrait être améliorée,

• très peu de choix dans les gabarits proposés.

Si, par ailleurs, vous avez envie de bénéficier de 2 € de remise sur votre album, n’hésitez pas à utiliser mon code de parrainage : Tipii-IAWZEVf.

A très vite,

Mélodie

Vieux Polaroid ou Instax Mini ? J'ai craqué pour l'Instax Mini 8 Hello Kitty

Ma passion pour la photographie et mon amour pour les objets vintages ont fait de moi une collectionneuse-accumulatrice compulsive de Polaroid. Et malgré un faible budget d'étudiante ne pouvant pas mettre plus de 5€ dans ces fameux appareils, j'ai réussi grâce à mon frère, aux vides-greniers du Sud-Ouest et au plus génial des Emmaüs à me créer une très belle collection d'appareils. Mon seul regret étant de ne pouvoir les utiliser.

2007 : La firme Polaroid, prise par surprise par l'arrivée du numérique rencontre des difficultés et se voit contrainte d'arrêter la production des appareils à développement instantanés. Deux ans plus tard, c'est au tour de la production des films a être arrêtées.

De ce fait, les films d'origine deviennent rares et leurs prix augmentent.

Cependant, après l’annonce par Polaroid de la cessation de la production de film instantané pour les appareils Polaroid, trois personnes, anciennement employés par la firme Polaroid, le Dr Florian Kaps, André Bosman et Marwan Saba décident en 2008 de lancer l’Impossible Project. Ils rachètent les machines de production de Polaroid et produisent à nouveau des films à développement instantané.

Aujourd'hui, il est donc plus facile de retrouver des films. Dans les petites boutiques de photographe vous pourrez trouver des cartouches de huit photos pour 25€.

Cependant Polaroid n'est et n'a pas été le seul a surfé sur cette vague, le japonais Fujifilm aussi !

Alors lequel choisir entre les deux ?

Aspect Vintage :

Polaroid n'ayant pas vendu les brevets pour les films mais uniquement les machines, les films Impossible Project sont donc imparfaits. Si vous aimez les aspects un peu vieillis et un peu vintage des vrais vieilles photographie instantanées, je vous conseillerais donc de vous tournez vers les Polaroids.

Cependant, si comme moi, le budget ni est pas, vous pourriez très bien vous tourner vers les Instax de Fujifilm.

Aspect économique :

Fujifilm possède une gamme très variée d'appareil instantané, se divisant sur deux formats de photos, et divers modèles et coloris. Le prix des appareils est certes élévé. Les films sont cependant plus que raisonnables, une boite de 10 coûte 10€ avec possibilité de les trouver encore moins chers en les achetant en lot de 5 sur internet.

Après un rapide calcul, en se basant sur un Polaroid a 15€ avec des films à 25€ les 8 et un Instax Mini 8 à 80€ avec des films a 10€ les 10. L'instax revient moins chers que le Polaroid au bout de la 32ème photographie même si le prix de l'appareil à l'achat est beaucoup plus élevé. De plus, trouver un Polaroid fonctionnel pour 15€ n'est pas une mince affaire.

J'ai donc mis mes Polaroids de côté en attendant d'avoir un budget plus conséquent pour pouvoir les utiliser et j'ai craqué sur un Instax. Mais pas n'importe quel instax : 

Le Fujifilm Instax Mini 8 Hello Kitty Limited Edition !

Je ne vais pas vous mentir, je suis une fan de ce célèbre chat blanc au nœud rose. Alors quand je l'ai vu dans la vitrine d'une boutique photo en me promenant dans les ruelles pavées d'Aix-en-Provence, j'ai couru l'acheter. Son design est plus que mignon malgré son énorme manque de discrétion. Il possède plusieurs modes d'exposition qui permettent de régler la luminosité de la photographie. Pour les plus nulles d'entre nous, l'appareil calcule lui-même l'exposition et vous indique sur quel mode vous positionner pour ne pas vous rater. Bien qu'assez volumineux, il est très léger et est vendus avec une sangle pour pouvoir le porter autours du cou ou en bandoulière.

J'ai vraiment pu reprendre goût à la photographie instantanée sans me sentir coupable par rapport à mon portefeuille. Et quelle joie d'entendre le moteur sortir le film et admirer l'apparition de notre cliché en douceur. Il m'a fallu qu'une seule photographie pour en tomber amoureuse. Je pense d'ailleurs bientôt agrandir ma collection avec l'Instax Neo 90, qui possède d'autres modes beaucoup plus développés comme l'exposition longue et la double exposition qui permettent d'ailleurs beaucoup plus de créativité.

[inspi' Feel It All - Tokio Hotel] Sous les stroboscopes - Journal intime d'une ex accro à la drogue.

Sous les stroboscopes, tu te souviens ? Nous ressentions tout, tous les bruits autour de nous, tous ces cris, tous ces rires effrénés, ces âmes perdues et ces corps déchaînés. Parmi la foule de cette boite de nuit, il y avait nous, ces deux êtres au sang déchaîné, nos globules en perpétuels mouvements frénétiques. Nous, seul contre le monde, les sens aux éveils, à ressentir les choses de manières plus fortes, plus intenses. Toi et moi ne formions qu'un, unis dans une unique et même addiction. La plus forte des addictions, celle dont on ne guérit jamais. Celle qui devient notre unique priorité. Celle qui nous fait perdre tout raisonnement. Nous avions brisé les règles que nous nous étions fixé, nous avions brisé les lois qui nous dirigées, nous avions brisé nos destins si prometteurs, tout cela pour une dépendance à de la poudre blanche.

Tu te souviens de la toute première fois. Cette musique intense, l'alcool dans nos veines, nos pas titubants, la promesse de ne jamais recommencer. Et au lieu de cela, nous sommes allé plus loin, nous avons chuté et le diable lui-même a préféré prendre sa retraite. Sous les stroboscopes, nous sommes montés dans les cieux. Aujourd'hui Newton peut ravaler sa pomme. Nous volons, divaguons, flottons et naviguons dans des eaux troublées. L'attraction n'est plus terrestre, elle est céleste. Marie-Jeanne était bien trop sage et ces grands sourires jaunes² n'étaient eux-mêmes pas assez forts pour nous rendre heureux. Nous avions donc suivis les rails du train qui mène au paradis. Lucifer, encore, est le gardien de ce lieu si précieux à nos yeux.

Aujourd’hui encore, alors qu’un nouveau jour se lève, je ressens toutes ces choses, tellement de choses : la lumière intense du soleil levant et la noirceur de mon âme, la puanteur des cendres froides et le parfum exquis de notre trop sage Marie-Jeanne¹. Le froid du vent d’hiver s’engouffrant par le carreau cassé de la fenêtre et la chaleur de l’alcool dans mon sang.

Te souviens-tu de nos envies d’évasion qui ne demandaient qu’à reprendre le train vers un nouvel horizon ? Enchaînant rails sur rails, nous nous éloignons à vitesse grand « V » de la réalité. Ces paysages étaient tellement plaisants. Tes yeux semblaient tellement bleus, ton amour semblait tellement vrai. C’est à ce moment-là que tu m’as demandé « Et si nous partions de là ? Tu voyais cette lumière intense au bout du tunnel. Tu me la décrivais, elle semblait magnifique. Tu me racontais le bonheur que te procurer sa chaleur intense qui envahissait ton corps. Moi je ne voyais rien, ne ressentait rien, seulement le vague reflet de la lune sur des flaques de pisses. C’est alors que tu as avalé un nouveau sourire et rejoins ton mirage en courant. Absorbé par cette lumière, tu ne t’es rendu compte de rien. Notre monde s’écroulant pourtant en cet instant.

Sous les stroboscopes je me souviens encore. De ton sourire grimaçant un smiley sur la langue, de tes yeux bleus et de leurs pupilles dilatées. Je me souviens de l’odeur de tes cheveux imprégnés de l’odeur de la cigarette et de la marijuana. Je me souviens de tes baisers au goût de la vodka. Je me souviens de ton corps squelettiques et de tes bras tachetés de violet. Je me souviens de ton nez blanchit par la poudre. Je me souviens de ta démarche titubante, je me souviens de mon amour me poussant à monter dans ce train avec toi.

Ce soir-là, nous avons atterri dans un nouveau monde. Un monde avec beaucoup d’agitation, de cris désespérés, d’ordres aboyés. De gyrophares rouges et bleus perturbant ma vision à travers la pénombre profonde. Ce soir-là, je te vis avoir des compulsions sur le sol en recrachant ta salive. Pourrais-tu t’en souvenir ? Six pieds sous terre ? Je ne pense pas.

Au moment précis de ta disparition vers cet autre monde, je te jalousais de ne pas avoir vu cette lumière si belle moi-aussi. Puis cette jalousie disparut. N’avais-tu donc pas vu que cette lumière n’était que le reflet de flammes sur la lame d’une faux ? Doublement stupide, voilà ce que tu étais ce jour-là. Et triplement stupide, voilà ce que je suis aujourd’hui.

Ce soir, sous les stroboscopes, la faux est réapparut. Sous les stroboscopes mon sang ne supporte plus, ce trop plein de voyages, ce trop plein de sourire. Ce trop plein d’amour pour Marie-Jeanne ; pour cette poudre blanche ; pour ces mini fioles de liquide. Sous les stroboscopes, une nouvelle vie me fait signe. Sous les stroboscopes, le corps de Juliette part en vrille. Sous les stroboscopes je me sens comme Nancy³, le couteau de toi, mon Sid³, planté dans ma poitrine.

Ce soir, sous les stroboscopes, Lucifer est là à m’accueillir dans notre paradis.

Sous les stroboscopes - Little Mélodie

1 : Marie-Jeanne : Nom commun donné à la marijuana.
2 : Cachés d'extasis ou d'acide, ressemblant à des bonbons en forme de smileys.
3 : Nancy and Sid Vicious, l'histoire d'amour la plus tragique de l'histoire du Punk, le film est à voir de toute urgence.

Aménager et décorer son appartement étudiant sans presque rien dépenser, c'est possible !

Quand j'ai appris que j'irais finalement faire mes études sur Limoges, je me suis mise à la recherche d'un appartement, je n'avais pas envie de vivre dans les 15m2 du CROUS. J'avais envie d'espace mais surtout de calme. J'avais trouvé sur le Bon Coin l'appartement de mes rêves, un 30m2 remis à neuf, les murs blancs et équipé avec goût. Deux-trois jours plus tard, nous partons, mes parents et moi parcourir les 500km qui séparent Pau de Limoges afin de signer le bail. A 50km de l'arrivée, je reçois un appel, l'appartement a été loué le matin même. Pour vous dire, à ce moment-là j'étais furieuse et mes parents aussi. 500km soit 1000km dans la journée pour rien, sans compter les frais d'essence, ce n'était pas possible. Je suis donc retournée sur le bon coin à la recherche d'autres annonces. J'en ai trouvé un disponible à la visite de suite : mon appartement actuel. Mon état d'esprit ne s'étant pas remis de la perte de mon logement parfait, je trouvais celui-ci sans intérêt, la tapisserie était (et est toujours) moche mais j'ai décidé de signer le bail. Le loyer était intéressant, il était grand, la cuisine était à part et le chauffage était compris). Aujourd'hui, après deux mois passés et ma mauvaise humeur passée, j'y suis retourné pour aménager et finalement il n'est pas si mal et malgré la tapisserie, je l'aime mon petit nid !

L'AMEUBLEMENT :

Mais revenons à nos moutons. L'appartement n'était pas meublé et hors de question d'acheter des meubles. J'ai donc pioché dans ma chambre et dans la maison pour équiper celui-ci. Pas besoin de grand-chose finalement :

_un sommier, quatre pattes et un matelas pour faire un lit
_un meuble TV pour la TV, la console de jeu et un peu de rangement
_un casier en métal pour ranger les bric-à-bracs
_deux tréteaux et une planche pour faire un bureau
_et le vieux bar en métal qui meublait mon ancien appartement étudiant pour manger

La seule chose que nous avons dû acheter a été une petite étagère pour pouvoir ranger les livres et me créer un coin maquillage.

Il me manquait juste une table de chevet, une table basse et du rangement pour la salle de bain.

Les astuces :

_Pour créer la table de chevet, j'ai empilé une pile de boites à chaussure.
_Pour cacher le bidet, j'ai acheté une des petites tables bien connues d'IKEA et je l'ai posé dessus, ce qui m'a permis d'avoir un plan pour poser et ranger brosses, chouchou, produits de beauté, etc.
_Pour créer une table basse pour le salon, une caisse de rangement et une planche en bois feront l'affaire. Moi j'ai pris celle de l'étagère de mon meuble TV.














LA DECO :

_Pour donner un peu de peps au mur, j'ai accroché tous les posters des festivals que je possédais avec du masking tape.
_Un tapis à la sortie du lit donne un côté chaleureux à la pièce.

Si vous possédez une collection de vernis comme moi, utilisez les boites à bougies de chez Casa (10€), effacez les illustrations avec du dissolvant et poser les à l'horizontale pour faire des étagères.

Pour décorer un peu votre cuisine, utilisez de jolies boites, j'ai trouvé les miennes chez Noz, Lafoir'fouille et Emmaüs.

Si vous êtes gourmand(e), remplissez des bonbonnières de friandises et posez les sur le plan de travail, cela egaye énormément la cuisine.

1. Pour les fans de Vintage, un Polaroïd 33, un téléphone à cadran repeint en rose et de fausses fleurs donneront à votre appartement un côté très girly.
2. Utilisez des magnés Polaroïd pour rajeunir votre frigo.
3. Si vous ne pouvez pas faire de trous dans vos murs mais que vous souhaitez accrocher votre beau miroir, accrochez-le grâce aux portes serviettes conçus pour se fixer sur les hauts des portes.
4. Pas de portes-bijoux, mais une porte retirés dans l'entrée ? Utilisez les crochets pour y faire tenir un
joli cintre en bois orné d'un ruban.

En espérant que cet article vous ait aidé, n'oubliez pas vous aussi de partager vos petits trucs ;)

[DIY] Un étui pour pinceaux !

Les pinceaux, on les aime et on les collectionne ! Cependant, on ne sait jamais comment les amener en voyage avec nous, et bien je viens de trouver une solution : utiliser un vieil étui en cuir d'appareil photo. C'est à la fois rétro, original et pratique.

Où trouver des étuis ?

1. les vides-greniers : le mien a été trouvé en vide grenier pour 5€, il était vendu avec un objectif pour argentique donc vous pourrez en trouver seul pour moins cher. 
2. Emmaüs : j'en ai aussi vu chez Emmaüs, attention cependant à la taille, préférez des étuis plus haut que 17 cm, la taille moyenne d'un pinceau.
3. le grenier de vos grands-parents parce qu'on ne sait jamais ce qu'on peut y trouver.

Comment rendre son étui un peu plus fun ?

• en utilisant comme moi du masking tape, les miens viennent  du rayon papeterie d'IKEA
• en peignant les éléments métalliques avec du vernis à ongles
• dessinant sur le cuir avec des stylo Poscas
• en recouvrant le velours intérieur avec un autre tissu.

Bien sur bien d'autres solutions s'offrent à vous, laissez parler votre imagination !